Les antivapes se déchainent à nouveau mais c’est pour votre bien !
Que serait le monde si l’OMS n’existait pas ? Nous ayant gratifié de ses croustillantes études, réunions, dossiers et autres conclusions moisies à l’occasion de la crise du COVID ou il était question de surtout raconter n’importe quoi et d’effrayer à défaut de comprendre, l’OMS a une autre priorité : La lutte contre la méchante vape qui tue (forcément) et mangeuse de chatons mignons. J’avais déjà évoqué ce sujet ici et là
L’OMS est sur le sentier de la guerre et elle a décidé :
- Interdire les arômes hors tabac (sujet que j’avais déjà abordé ici )
- Interdire les sels de nicotine
- Interdire le réglage de puissance de votre batterie
- Réécrire la définition de fumer et de arrêt tabagique et bien entendu taxer, taxer et…taxer !
- Les punitions publiques, les coups de triques, de fouets et pourquoi pas, la mise en place de buchers ?
Réécrire les définitions des mots, mis à part l’aspect très Orwellien du principe, permet à l’OMS de confondre vapoter et fumer. Comme disait Lénine, faites leur mâcher les mots, ils avaleront les idées : VAPOTER = FUMER = MOURIR. Fermez le ban…
Le CNT, machin payé par vos impôts qui ne sert à rien préconise quant à lui quelques règlementations.
A la suite d’une enquête sur le vapotage réalisée entre 2020 et 2022 (auprès de 450 bureaux de tabac et moins de 120 vape shop…), les conclusions rapportées sans rire pour lutter contre le tabagisme consistent à :
- Interdire les arômes hors tabac
- Mieux encadrer la vente (comprendre taxer)
- Réviser la réglementation liée aux produits nicotinés. Il faut comprendre imposer une législation rendant plus complexe la mise sur le marché de liquides non fabriqués par l’industrie du tabac comme c’est le cas aux USA, point que j’ai déjà exposé ici au mois d’avril dernier.
Le groupe vit bien !
